Une visite surprise au travail...une surprise pour qui ?

Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 8 ans

Je suis à mon bureau, ce mercredi soir et il est 18h. D'habitude, je finis à 17h, mais voulant prendre de l'avance sur mon travail, j'ai décidé de rester un peu plus longtemps. Je t'ai envoyé un message pour te prévenir, et tu m'a répondu par un « pfff ».

Je suis concentré sur mon problème quand j’entends taper à la porte. Cela me surprends un peu, il est censé n'y avoir plus que moi dans l'établissement.

« Entrez »

la porte s’entrouvre, et je vois ton joli minois apparaître.

« Bonjour, vous désiriez me voir monsieur ? »

Ta question me laisse interrogateur un instant, que fait tu ici ? Mais je me reprends assez vite...

« oui je t'en prie, entre donc. »

Tu ouvre donc la porte complètement, et tu rentre dans la pièce. Tu es habillée d'une petite jupe et d'un chemisier à la façon « petite écolière », et tu avance vers mon bureau arborant un splendide sourire. Intérieurement, je me dis « elle a osée... quelle sale gosse ! », une pensée qui me fait sourire à mon tour.

Tout en me fixant dans les yeux d'un air provocateur, tu te dirige vers la chaise en face de mon bureau, la tire et tu viens t’asseoir dessus. Comprenant que tu veux jouer avec moi, je décide de jouer le jeu...

« Qui t'as dis que tu pouvais t'asseoir ? »

Tu me fixe l'air interrogateur.

« Relève toi, je ne t'ai pas autoriser à t'asseoir »

L'air contrariée, tu te relève et reste debout devant ta chaise, les mains sur l'avant de ta jupe.

«  Et bien, désormais tu peux t'asseoir, et oui effectivement, je voulais que tu vienne, nous avons à discuter. »

Tu attends quelques secondes avant de te rasseoir, tout en me fixant l'air de vouloir me dire « c'est pas toi qui commande ». Une fois assise, afin de me provoquer, tu t'installe bien confortablement en partie avachie sur la chaise de façon assez irrespectueuse. Mais contrairement à tes attentes, je ne réagis pas.

« Et bien, je t'attendais un peu plus tôt dans la journée, mais semble t'il que tu n'étais pas présente...peut tu m'expliquer pourquoi ? »

« Ca ne vous regarde pas, c'est personnel... » me réponds tu en tournant la tête sur le coté.

« Écoute moi, durant les heures ou tu es censé être à l'établissement, nous sommes responsable de toi, et tu dois nous justifier tes absences, alors ce que tu fait durant ce temps la me regarde ! Tu dois au moins pouvoir le justifier ! »

Tu es toujours entrain de fixer sur le coté , arborant un air de « j'en ai rien a foutre, je ne t'écoute même pas »

«  TU ME REGARDE QUAND JE TE PARLE ! »

La portée de ma voix te fait sursauter, tu n'es pas habituée à ce que je hausse le ton ainsi. Tu tournes la tête vers moi, mais tu ne te laisse pas intimidée pour si peu.

« Ça va calmez vous ! Je suis pas une gamine ! Je fais ce que je veux ! »

«  Ha bon ? A mon sens quelqu'un qui s'inscrit, qui s'engage et qui n'assume pas ses responsabilités n'est pas un personne mature ! Alors gamine te corresponds plutôt bien ! »

« Mes responsabilités, j'en fais ce que je veux ! Même si je me comporte comme une gamine, vu mon age, vous n'avez pas à me dire ce que je dois faire ! »

« Peut être, mais en attendant tu t'es engagée, et il y a un règlement à respecter ! »

Tu tourne a nouveau la tête en soupirant...

« vous allez faire quoi ? Me virer 3 jours ? Allez y, après tout, ça me fera trois jours de vacances... justifiés cette fois ci... » Me rajoute tu en retournant la tête vers moi avec un sourire moqueur.

Avant que je puisse répondre, tu tournes à nouveau la tête sur le coté et tu rajoute :

« Quel dommage pour vous que vous ne puissiez pas utiliser d'autres méthodes que ces idioties.... »

Je m’arrête un instant, fronce les sourcils, et me lève de ma chaise.

« Ça tombe bien que tu parle de ça... car pour toi, je compte bien utiliser des méthodes moins ordinaires... »

Je me dirige vers toi qui fixe toujours le mur pour m'emmerder, et je saisis ton poignet.

A cet instant, tu sursautes et tu me fixe d'un air inquiet.

« Qu'est ce que vous comptez faire ? »

Je tire légèrement sur ton poignet, t'obligeant lentement à te lever.

« A ton avis ? »

Tu es debout, face à moi, tu me fixe avec ton air interrogateur, mais tu n'ose pas me répondre. Tu as bien une idée, mais tu n'arrive pas à la dire, et surtout, tu n'oses pas la dire.

Sans te répondre, je m'assied à ta place, et je te tire d'un coup sec et te bascule sur mes genoux.

« Hey ! Qu'est ce qui vous prends ?! Vous faites quoi ?! »

Je te plaque dans ta position en appuyant à l'aide d'une main sur le creux de ton dos.

« Vu que tu admet toi même que tu te comporte comme une gamine, je vais déroger au règlement, car celui ci ne concerne pas les gamines... »

« Vous n'allez pas me fesser quand même ?» me demandes tu paniquée.

« je vais me gêner... »

Je t'assenne une première claque sur les fesses, en visant bien pour claquer les deux, ce qui fait se soulever légèrement le bas de ta jupe. Tu la un petit « hoo ! », tu n'en reviens pas de ce qu'il t'arrive.

La deuxième claque tombe, puis la troisième, alternant d'une fesses à l'autre. Tu n'y crois toujours pas, je suis en train de te fesser.

Les claques ne font pas très mal, mais tu trouve cela très humiliant ! Même si tu reconnais que tu t'es comporté comme une chipie, je n'ai pas le droit de te corriger comme une gamine !

Les claques tombent sur tes fesses, et bien que d'apparence tu ne réagis pas, tu fini par exploser en te mettant à crier que je ne peux pas faire ça ! Que tu es une adulte et que je n'ai pas le droit de te traiter comme ça ! Tu commences à te débattre et à gigoter dans tous les sens ! Tu essaye d'interposer ta mains entre la mienne et tes fesses, mais je la saisi aussitôt pour la verrouiller dans ton dos. Je te décale légèrement sur un seul de mes genoux, et j'utilise mon autre jambe pour emprisonner les tiennes. Tu te retrouves complètement bloquée et ne peux exprimer ton mécontentement que par la parole, ce que tu n’hésite pas à faire en m'insultant.

J’attrape le bas de ta jupe, et je le relève d'un coup, dévoilant tes petites fesses déjà rosies, à peine protégées par culotte. Situation à laquelle tu réponds par un « nooon tu a pas le droit! »

« Tu serais restée calme, ta jupe aurait protéger tes fesses un peu plus longtemps. Alors tu ferais mieux de rester calme par la suite. »

Je reprends la fessée, et j'alterne les claques, parfois ciblant le tissus de ta culotte, parfois visant un partie de tes fesses sans protection. Les claques commencentà chauffer tes petites fesses, et celles ci prennent de plus en plus de couleurs. Ces claques tombent aléatoirement et te surprennent à chaque fois, tu n'arrive pas à anticiper la partie de ton petit derrière qui va être touchée. Tu essaye de te débattre en bougeant les jambes, mais seul tes pieds et tes chevilles ont encore un peu de mobilité.

Tes paroles ne semblent pas t'aider à résoudre la situation en m'insultant, alors tu change de stratégie en me disant que tu seras désormais sage, et que tu as compris, que tu sera présente tous les jours.

Tu t'excuses aussi d'avoir cherché à m'énerver et de m'avoir insulté.

La fessée s’arrête, et tu lâches un soupirs de soulagement.... tu te dis que tu a réussi à me faire arrêter la. Tu commences a te détendre, lorsque tu sens mes doigts, se glisser sous l’élastique de ta culotte !

« non il ne va pas oser ! »...

« Non ! S'il vous plais ! Pas ça ! »

Malgré ta demande, tu sens ta petite culotte glisser lentement sur tes fesses, dévoilant lentement la jolie peau rougie de ton petit cul à mes yeux. La voilà qui viens se stopper dans le creux du bas de tes fesses.

« Il fallait y penser avant jeune fille... »

Te voilà rouge de honte. La couleur de tes joues est bien plus prononcée que celle de te fesses. Et ton visage te chauffe encore plus que celles ci. Qu'est ce qui t'a pris de venir ce soir ? Tu t'attendais a réussir a me faire lacher le travail, mais tu n'imaginais dans cette situation, déculottée à recevoir une fessée sur mon lieu de travail... Quelle honte...

La première claque tombe et te fait revenir à la punition. Celle ci a bien résonné dans le bureau et a laissé une belle marque rouge sur tes fesses. Décidément, il n'y va pas de mains morte....

Je poursuis la punition sur tes petites fesses qui rougissent sur mes yeux. Quel spectacle ! On petit cul m'excite incroyablement, et je sais que tu risque à tout moment de remarquer mon érection. Mais il faut bien avouer que la vue de tes petites fesses rougissante et se dandinant sous mes yeux a un pouvoir hypnotisant pour moi.

Je continue de claquer tes petites fesses, en tachant de ne pas me laisser m'emporter par mon excitation.

De ton coté, tu as arrêter de chercher à résister. Tes fesses commencent à te brûler et tu voudrais me hurler d’arrêter pour stopper cela... mais en même temps, tu n'arrive pas a comprendre pourquoi, tu n'as pas envie que je m’arrête...

La situation t'excites, et chaque coup qui atterrit sur tes fesses résonne dans ton bas ventre, dans ton entrejambe et au fond de te sexe. Cette réflexion ton paralyse, tu es en train de recevoir une fessée, et cela t'excite énormément et te fait à la fois honte... Tu restes ainsi a recevoir cette fessée..., lâchant parfois des petits cris lorsqu'une claque te surprends.

La fessée s’arrête, et je ne dis pas un mot... Tu reste dans cette position, allongé sur mes genoux, les fesses à l'air, a calmer le rythme de ton souffle lentement...

Les secondes passent sans un bruit, et je finis par me laisser tenter à caresser tes fesses bien rouges. Celles ci sont très chaudes, et j'aime à suivre leur courbe avec la paumes de ma mains. Je prends quelques secondes, qui deviennent des minutes à passer mes mains sur tes fesses.

Tu ne réagis toujours pas, tu reste dans cette position, ce qui finis par me surprendre et me faire arrêter de me centrer sur tes fesses.

Je te rajoute une petite tape sur les fesses en te disant :

« Aller ! Débout ! Tu file au coin, jupe relevée et mains sur la tête ! »

Tu t’exécute aussitôt, en te levant, et en te dirigeant vers le coin se trouvant en face de mon bureau ta culotte limitant l'envergure de tes pas.Je me rapproche de toi, attrape ta jupe pour la bloquer en position relevée.

« reste ici, interdiction de bouger et tu en reçois une autre ! »

Tu te fige et ne réponds pas.

« Tu a entendu ce que j'ai dis ? »

« oui monsieur ! »

« très bien » dis je en te donnant une petite claque sur les fesses.

Je retourne m'asseoir à mon bureau, m’apprêtant à reprendre mon boulot. Mais Impossible de faire cela, avec la vue de tes petites fesses en face de moi. Je reste la, à t'admirer pendant de longues minutes. De ton coté, tu sens mon regard sur toi, sur tes fesses que tu aimerais bien caresser...

Je finis par me relever, et venir te chercher à nouveau par le poignet. Docile tu te laisse faire et ne proteste pas. Je t’amène jusqu'au bureau, et te demande de retirer complètement ta culotte, chose que tu exécute rapidement.

« Pose tes coudes sur le bureau et tends tes fesses vers l'arrière »

Tu me regardes l'air de me demander si la fessée précédente n'a pas suffit.

« Met toi en position avant que je ne décide d'être plus sévère ! »

Tu mets du temps à t’exécuter, alors je te flanque une dizaine de claques rapides sur les fesses. Tu grimace légèrement et tu prends la position immédiatement.

Tu me vois contourner ton bureau en te fixant dans les yeux, puis ouvrir un tiroir pour en sortir une règle en plastique. Je contourne à nouveau mon bureau pour passer derrière toi, et je pose ma main sur le creux de tes reins.

Tu sens le contact assez froid de la règle sur tes fesses, glissant de bas en haut.

« Tu vas compter les coups à haute voix »

Le premier coup tombe, et tu fait sursauter. Tu lâches un « aie » juste avant de t'empresser de dire « un »

Le deuxième tombe un peu plus bas, que tu comptabilise aussitôt.

« trois ! »

« Quatre ! »

« Aie ! Cinq ! »

Le cinquième t'as fait assez mal, tu as cherché mon regard pour voir mon expression de visage. Tu me fixe, et je contourne à nouveau le bureau pour venir m’asseoir sur mon siège en face de ton visage. Je t'observe droit dans le yeux. Mon regard est si perçant que tu en est presque gênée....

Je ne dis toujours pas un mots, et tu vois que je m’apprête à me lever, et donc que la fessée va reprendre... Mais ma main viens agripper ta nuque, et mes lèvres viennent embrasser fougueusement les tiennes ! Le baiser se termine, et tu croise mon regard qui te fixe... un regard qui en dis long sur mon excitation...

« J'ai envie de toi, ici et maintenant ! »

J'attrape ma boucle de ceinture et la détache, je retire celle ci et la pose sur le bureau. Je défais le bouton de mon jean et je le descends aussitôt, et dans la foulé, je descends mon caleçon.

Tu aperçois mon sexe déjà en érection, tu tends la main pour essayer de l'attraper, mais je te saisis le poignet en te disant que tu ne pourras y toucher que si je te le dis. Je contourne le bureau tout en amenant ton bras pour le verrouiller dans ton dos, je me place derrière toi tout en te maintenant plaquée contre le bureau. De mes pieds, je pousse les tiens pour te faire écarter les jambes. Je vérifie de ma main libre que tu es assez mouillé en laissant glisser mes doigts sur tes lèvres qui sont effectivement bien humides. Tu es donc assez excitée, je décide donc de te pénétrer. Je débute les mouvements de bassins et dés que mon sexe pénètre le tiens, tu pousse un soupir de plaisir. J’accélère lentement le rythme des vas et viens, c'est tellement bon !

Je relâche ton bras prisonnier, et je t'attrape par les hanches, cela me permets d’accélérer encore plus le mouvements. Tout en continuant ma danse des hanches, je glisse mes mains dans ton chemisier, et je viens griffer légèrement ton dos, te faisant te cambrer. Mes mains profite que ta poitrine se sois décollée du bureau pour remonter ton ventre et venir à hauteur de tes seins, que je m'empresse de faire sortir par le haut de ton soutient gorge. Je les prends à pleine mains, et je les malaxe et je joue avec. Mon visage est presque coller à ta nuque, et tu sens mon souffle chaud caresser l’arrière de ton cou. Ma respiration s’accélère, et la tienne en fait de même. J'en profite pour jouer avec tes tétons tout durcit. Je les caresse et les pinces par moment, ce qui te fais pousser des petits râles.

D'un coup, je me retirer, je t'attrape par les hanches et te fait te lever et te retourner face a moi. Je t'embrasse à nouveau et en profite pour te déséquilibrer vers l’arrière pour te faire t'allonger sur le bureau avec les jambes dans le vide. J'attrape tes jambes pour ajuster ta place sur le bureau, et te tire vers moi pour te pénétrer à nouveau.

Tu en profite pour te redresser un peu et venir déboutonner ma chemise pendant que je continue mes mouvements de vas et viens. Tu me tire vers toi en tirant sur ma chemise maintenant ouverte. Nous nous embrassons et tu en profite pour griffer mon torse, tu aimes bien te venger un peu...

Je te pousse à nouveau pour te plaquer le dos contre le bureau, et j'attrape le bas de ton chemisier et je commence àle retrousser vers ton visage, celui ci arrive jusqu'à tes épaules, dévoilant tes magnifiques seins à mes yeux. Je continue à emmener ton chemisier vers le haut, t'obligeant à lever les bras au dessus de ta tête. Je fais glisser celui ci sur ton visage, et je m’arrête lorsque le col de celui ci vient à peine de passer au dessus de tes lèvres. J'attrape ma ceinture posée sur le bureau et en profite pour attacher tes mains ensemble au dessus de ta tête... Te voilà ainsi privée de ta vue et de tes mains, ton chemisier masquant tes yeux.

J'en profite pour venir embrasser ton cou, ton menton, puis redescendre vers le haut de ta poitrine, puis tes seins , pour revenir embrasser tes lèvres... Tout en continuant mes vas et viens, je profite de ton incapacité à voir pour alterner les zones ou mes mains et mes lèvres viennent se poser. Cela peut être aussi bien tes jambes, ton visage, tes bras, tes aisselles ou tes lèvres... rendant chaque sensations plus unique encore...

A force de bouger tes bras, tu finis par réussir à faire remonter ton chemisier, et donc à y voir à nouveau. Tu tombe sur mon regard, et en profite pour me provoquer par une mimique et un petit sourire.

« Ha bon  mademoiselle? Vous pensez pouvoir venir me déconcentrer pendant mon travail sans risquer de punition ? » dis je avec un grand sourire.

Je me retireà a nouveau, et attrape tes deux jambes, je les relève et les bascule au dessus de ton buste, Je te tire un peu vers moi pour que seules tes petites fesses dépassent du bord du bureau, et j’entreprends de les claquer à nouveau. Tu reçois ainsi une autre fessée d'une vingtaines de claques dans cette position, les deux jambes serrées en face de ton visage. Celle ci te fais légèrement grimacer, mais tu es tellement excitée que chaque coup résonne agréablement au sein de ton sexe.

A peine ai je fini de claquer ton joli petit cul, que mes doigts viennent jouer avec tes lèvres avant de se glisser dans ton vagin. Dans cette position, il m'est très facile de profiter de l'habilité de mes doigts pour accentuer leur effets. J'alterne diffèrent mouvements avec mes doigts tout en leur faisant effectuer des va et viens. J'en profite pour venir te mordiller les fesses, tout en te maintenant les jambes en l'air. J’accélère le mouvement et le maintiens jusqu'à ce que tu jouisse, lâchant de petits son avant de laisser filer un soupir de plaisir.

Je recule d'un pas en faisant lentement redescendre tes jambes, je les pose à terre, et me redresse pour te fixer. Je te vois toujours allongée sur le bureau et le souffle court. Je viens détacher la ceinture qui bloque tes mains avant de revenir devant le bureau.

Je t'attrape à nouveau par le poignet et te fait te relever. A peine as tu réussi à te remettre debout, que je te tire vers moi et te ceinture de mon bras gauche. Te voilà collée contre moi, tu sens mon sexe rigide contre ta hanche.

D'un geste rapide je te fait pivoter avant de te plaquer contre le bureau. M es mains remontent le long de ton dos, glissant jusqu’à ta nuque, avant de redescendre en griffant en griffant légèrement ta douce peau. Ma main droite agrippe ta taille pendant que ma main gauche guide mon sexe vers le tiens. Je te pénètre à nouveau avant de agripper par la nuque. Tes mains, à nouveau libre finissent de faire tomber les quelques objets rodant sur mon bureau. Je commence à mouvoir mes hanches alors que tu viens d'attraper le rebord du bureau et tu le serre. Le contact froid de celui ci sur ton petit cul brûlant te donne des frissons... tout autant que le son de mon souffle bestial à coté de ton oreille. Tu tourne la tête afin de pouvoir croiser mon regard du coin de l’œil et me fait un sourire avant de commencer à accorder tes mouvements de hanches avec les miens jusqu'à ce que nous jouissions tous les deux....

Je me retire, t'aide à te relever avant de te retourner vers moi pour t'enlacer dans mes bras. Je recule un peu la tête, et repasse ma main dans tes cheveux avant de t'embrasser délicatement.

« Aller rhabille toi » te dis je en souriant.

« oui monsieur » me réponds tu en me tirant la langue.

Tu remets ton chemisier pendant que je récupère ma chemise. Tu profite du fait que je soit dos à toi pour me mettre une petit tape sur les fesses, toujours aussi provocatrice. Je me retourne aussi tôt en te disant de faire attention à ce que tu fais, tout en souriant. Tu me réponds à nouveau par un « oui monsieur ».

Tu réajuste ton chemisier et ta jupe, et tu me dis que c'est bon.

« Alors rentres a la maison, je finis de m'habiller, et j’éteins mon ordi et je rentre aussi. »

Tu me réponds encore par un « oui monsieur » tout en souriant et tu ouvre la porte de mon bureau pour t’apprêter à retourner à ta voiture. Je te retiens par la main, te tire à nouveau contre moi et t'embrasse tendrement.

« Aller file ! Et fais attention sur la route » te dis je en te donnant une petite claque sur les fesses.

Tu file aussitôt, disparaissant au coin du couloir.

Je finis par trouver la totalité de mes vêtements que je réajuste, et je découvre ta petite culotte, traînant encore par terre devant mon bureau. Je la ramasse en t'imaginant nue sous ta jupe et en esquissant un sourire.

Je vais jusqu'à mon bureau pour éteindre mon pc, et retombe sur mon boulot en cours.

« Décidément, j'aurais pas réussi à terminer ce boulot.. »

je souris une fois de plus et prends mon portable pour t'envoyer un texto.

« Une fois à la maison, déshabille toi, et va te mettre a genoux sur le lit, nue et les mains sur la tête.

Je dois m'occuper de votre cas mademoiselle, je vais vous apprendre à empêcher les gens de travailler;) »

Décidément, ce n'est pas non plus ce soir que je vais finir ce travail...

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